RUBATO - Patrick Ingueneau
Pour commander l'album, c'est ICI
Présentation :
Concert // chanson
Un piano, une grosse caisse, des bruits, un saxophone, une petite guitare, Patrick ingueneau chante ses chansons, s'amuse et nous emporte dans un
univers de fantaisie folle et d'humour absurde.
Espace musical indéfini, décalé où se côtoient les genres et
les (bonnes) humeurs ; spectacle de chansons un peu timbrées, mené par un artiste touche à tout.
On a rarement autant ri, jubilé. En équilibre instable entre grandguignol, émotion, humour, ridicule et virtuosité / Froggy’s delight
Une sorte de tour de chant qui inclurait le théâtre comme horizon et chanson comme ligne de mire. C’est drôle. Une belle découverte / JazzmagazinePop
Fender Rhodes et destroy jazz à la petite cuillère argentée… Rubato fantasmagorique / FrancoFansRubato déverse sa folie contagieuse à travers une série de chansons poétiques déjantées et nous emporte dans sa fantaisie folle et son humour absurde / Nouvelle République
Note de l'auteur :
​Rubato est une indication musicale plus communément utilisée dans la musique classique. La consigne « Rubato » indique d’interpréter librement une mélodie sans se soucier du rythme initial. Rubato, c’est le mouvement libre.
Cette quête de liberté se traduit essentiellement dans la difficulté à définir mes spectacles. Toujours à cheval entre musique théâtralisée et théâtre musicalisé.
Au fond, ai je envie de formaliser cette question ? Je ne crois pas. En parler me donne la sensation d’une démarche plus intellectuelle qu’artistique.
Le musicien que je suis avance par empirisme et par tâtonnement. Le plus souvent, c’est la musique et le travail au plateau qui m’amènent à développer un jeu de comédien. Celui qui joue, nous donne entendre sa musique autrement.
L’indication « Rubato » est le fil conducteur du spectacle. Tout se permettre, mélanger les genres et les humeurs. Tordre, désorganiser, associer les styles musicaux. Intégrer des moments de jeu théâtral, d’interprétation. Humour, absurde, décontexctualisation, dédramatisation, simplicité et complexité.
Casser les rythmes et les reconstruire. Chercher dans la forme générale du spectacle une sensation instable et oblique. Comme pour ne pas me sentir prisonnier d’un genre, d’un code de représentation.