Je me souviens
de et avec Jérôme Rouger
Presse :
​On rit, comme toujours chez Rouger, et soudain on se laisse happer.
​
« Jérôme Rouger n’a pas seulement de l’audace, il a aussi un furieux talent. On rit, comme toujours chez Rouger, et soudain on se laisse happer par une émotion qui ne s’était pas annoncée » Cassandre - lire la suite
​
​Courrez applaudir sans discuter !
« On en profite pour vous recommander d’aller voir de toute urgence un autre artiste drôle et sensible, le non moins excellent Jérôme Rouger interprète son non-moins autobiographique spectacle « Je me souviens ». Courrez applaudir sans discuter » France-Inter
​
​
Jérôme Rouger touche par l’authenticité de son jeu et de ses aveux.
« Rouger, d’un ton gourmand ou étonné, aligne ses souvenirs, se déplace d’un angle à l’autre, passe de la vivacité à la rêverie. Qu’il soit pour chaque spectateur un martien ou un frère, il touche par l’authenticité de son jeu et de ses aveux, attaché qu’il est à la beauté de l’infime saisi par l’intime » Gilles Costaz - Webthea.com - lire la suite
​
​Un spectacle comme un cadeau.
​
« Touchés, oui. Quoi de plus beau que de tenter d’extraire de soi une quintessence, de l’articuler, et de la polir jusqu’à l’offrir, encore palpitante de fragilité ? Un spectacle comme un cadeau, humble, juste et plein d’autodérision : une belle façon de se rappeler sa propre humanité » Les Trois Coups - lire la suite
​
On rit beaucoup et intelligemment.
« Nul besoin d'être né à Terves pour goûter la drôlerie de ce voyage dans le temps qui mêle parole, musique et soirée diapos. Comme une bonne madeleine au beurre charentais dont Rouger évacue la saveur nostalgique pour en faire un festin où le passé nourrit le présent : on rit beaucoup et intelligemment » L’Express - lire la suite
​
​
​Le récit à l’humour omniprésent ne tombe jamais dans la mièvrerie.
« Ponctué par la projection de photos décalées comme le sont les souvenirs passés au filtre de la mémoire, le récit à l’humour omniprésent ne tombe jamais dans la mièvrerie. Ce spectacle original se joue dans la (toute) petite salle du Lucernaire, appelée « Le Paradis ». Si ce n’est pas un signe… » Télérama
​​Jérôme Rouger est difficilement classable.
« Il a l’art et une manière bien à lui de raconter des histoires. La sienne et celle des autres, et qui parle diablement à la nôtre. Par sa singularité et son originalité, Jérôme Rouger est difficilement classable. Il sait nous faire rire et nous émouvoir par petites touches, comme ça, l’air de rien » France-Inter.fr - lire la suite
​
​
Son humour distingué nous offre avec beaucoup de simplicité une heure précieuse.
​
« Avec deux fois rien (un projecteur de diapositives et deux balais) et beaucoup de tendresse pour ses personnages, Jérôme Rouger démontre un talent d’observation hors-pair et toujours ce côté aérien et décalé qui faisait toute la grâce de "Furie", son précédent spectacle. Son humour distingué nous offre avec beaucoup de simplicité une heure précieuse, qui nous laisse riche d’un trésor inestimable qu’on aurait retrouvé au fond d’une petite boîte » Froggys Delight - lire la suite
​
Chaque scène est une surprise.
« Jérôme Rouger ouvre les portes de sa mémoire intime pour un grand déballage jubilatoire. Bien sûr, c’est Terves, mais ce pourrait être partout ailleurs. […] Jérôme Rouger est stupéfiant dans son interprétation de tout un village. Chaque scène est une surprise, subtil dosage pour engendrer la mécanique de l’humour. Avec des envolées lyriques et des moments sublimes d’émotion. Le gamin de Terves est devenu un grand acteur, habité par son rôle, comme pouvait l’être un Caubère dans « La Danse du Diable ». Impressionnant. Bravo ! » La Nouvelle République
​La petite histoire qui permet à chaque homme de devenir ce qu'il est, un enfant de la terre.
« Derrière ces images fugitives et acidulées d'un enfant qui a grandi, se cache une infinie tendresse d'un homme envers ceux qui l'ont accompagné. Et si le public a fait une ovation à Jérôme Rouger, c'est parce que chaque spectateur a pu se reconnaître dans cette appropriation de la petite "histoire". Celle qui permet à chaque homme de devenir ce qu'il est, un enfant de la terre » Le Courrier de l’Ouest